Mardi Onem... A quoi cela sert-il ?

Comme chaque Mardi, on va faire un petit tour jusqu'au forem/onem.

On y va en espérant trouver une offre d'emploi qui nous correspondra (1) à moi ou mon épouse. Une offre à laquelle on répondrait et qui ferait que la personne qui recevra le courrier ait envie de nous recontacter (2)...

Ensuite, après un rendez-vous fructueux et sympa (3), cette personne convoque son chef de service et que nous lui plaisions (4) pour qu'elle appelle son DRH à qui nous plairons sans nuls doutes (5) et qu'on signe un contrat (6) dont les termes nous conviendraient (7). Le tout sans que personne ne convienne mieux au poste (8) et que notre âge (9) ne pose pas de problème. On croise les doigts que la durée d'interruption de carrière (10) passe inaperçu dans un cv honnête...

Il n'y a que 10 obstacles qui nous sépare d'un job cool, et quelques 300.000 autres personnes qui demandent exactement la même chose, dans une période de récession et d'inflation qui en met plus d'un en faillite.

Non, ce n'est pas inutile d'y aller, non ce n'est pas idiot d'y croire, juste un tantinet utopique. Sans parler des sentiments qui passent par la tête quand pour une fois, ce qui est donc déjà rare, un employeur daigne vous répondre et que sans même avoir prit la peine de vus rencontrer sait déjà qu'il a trouver quelqu'un qui vous surpasse dans tellement de domaines qu'il est inutile de nous recevoir. Alors que le QI mondial ne cesse de baisser...

Ou bien ???? Est-ce le QI ??? devrions-nous nous faire passer, quitte à être malhonnête, pour les derniers des abrutis prêts à accepter toute forme de travail sous rémunéré dans l'espoir de peut-être décrocher un mi-temps moins payé que le revenu que nous avons conjointement?

Quand je vous dis (voir signature), que je ne comprends plus le monde dans lequel nous vivons, ce n'est pas une blague...

Quoi qu'il en soit, nous irons malgré tout faire ces démarches, car si les surveillants, heu pardon, les conseillers, trouvent que nous ne cherchons pas comme il se doit, nous perdrions notre revenu de subsistance...

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Un homme d'un certain âge.
Dans une époque qu'il ne comprend
plus tout à fait.
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